La semaine dernière, j’avais un entretien d’embauche pour une grosse enseigne déco. La directrice régionale m’amène dans un réduit de 2m2. Elle s’asseoit et me montre un petit marche pied du célèbre suédois, vous savez celui qu’on achète pour les enfants pour qu’ils puissent accéder au lavabo, et me dit : « désolée, la chaise est cassée, si vous voulez vous asseoir, j’ai que ça à vous proposer. »
Heureusement que je n’avais pas eu l’idée saugrenue de mettre une jupe courte!
Elle commence alors à me parler du prestige de l’enseigne, qu’ils ont 750 magasins dans le monde, bla-bla-bla. Elle me demande ensuite mon ressenti sur son speech et je lui dis du tac o tac « ben qu’ils sont riches mais trop radins pour acheter des chaises »…
Il y a eu un gros blanc… Inutile de vous préciser que je n’ai pas eu le poste, mais ça m’est bien égal vue comme ils traitent leur personnel comme des esclaves…
Il y a quelques mois je remettait en route mon notebook (vous savez un ordi avec un écran de 10 pouces).
J’ai voulu le relancé et là ce fût le drame intersidérale car j’ai eu plusieurs petits soucis qui ne sont jamais drôle mais pas non plus dramatique.
- Mon chargeur a décidé de ne plus fonctionné alors que je n’avais plus de batterie sur mon ordinateur. Allez savoir pourquoi quelques heures après il fonctionnait dans un autre lieu que mon appartement (alors que toutes les prises de mon appartement fonctionnent correctement)
- J’ai mis du temps à pouvoir faire les mises à jour necessaires à son bon fonctionnement. Sachant que ce petit ordinateur fonctionne sous unbuntu. Autant dire que devoir s’y reprendre à 4 fois pour faire les mises à jour c’est une plaie.
Devoir accompagner un ami à l’aéroport, partir tôt (en ayant fait la fête la veille), faire la route sans encombre ou presque…
Oui presque car le seul jour où on ne doit pas être en retard, nous sommes tombés sur le boulet de service qui a mis trois plombes à payer le péage et surtout à récupérer sa monnaie, son reçu et à redémarrer….
Ce matin, j’ai mis un beau pantalon blanc pour aller bosser.
J’ai vite regretté mon choix quand plusieurs palettes de marchandises sont arrivées parce qu’il n’a pas gardé sa couleur originelle bien longtemps.
Mais le pire c’est lorsque je me suis rendue compte qu’il avait un trou très bien situé et que j’avais encore 6 heures de boulot devant moi avant de ne pouvoir rentrer me changer…
Entre un train attrapé de peu à cause d’un bus raté, suivi d’une correspondance hasardeuse à Paris à cause du RER en panne, j’ai réussi à faire la totale en me retrouvant bloqué dans un TGV en pleine campagne à cause des intempéries : la SNCF, « à nous de vous faire préférer le train » !